In the case of Imperial Oil's Kearl project, it is now well known that close to 80 ironworkers were laid off and replaced with Croatian temporary foreign workers who, based on the correspondence by the broker, were less trained, and I presume, paid less.
Au sujet du projet Kearl de la Compagnie Pétrolière Impériale, ce n'est un secret pour personne que près de 80 métalliers ont été mis à pied et remplacés par des travailleurs temporaires croates qui, d'après la correspondance avec le courtier, étaient moins formés et, je suppose, moins bien payés.