Because no single department “owns” or has sole responsibility for a person living with a mental illness, even an aggressive case manager – clearly part of the solution to the problem – will have difficulty crossing departmental lines. That some of these services, social housing for example, have fallen out of political favour in recent years makes solving the problem even more difficult.
Puisqu’aucun ministère n’est seul responsable d’une personne souffrant d’une maladie mentale, même un gestionnaire de cas dynamique — qui est manifestement un élément de la solution du problème — a fatalement de la difficulté à transcender les limites entre ministères, et le problème est d’autant plus ardu que certains de ces services, comme les logements sociaux, ont perdu depuis quelques années la faveur politique qu’ils avaient.