When we see these types of provisions being implemented here, such as security certificates and secret hearings, or hearings where evidence is given, let us say, by two government lawyers to a judge without any chance of input from an accused or from a person concerned, that just sends out the wrong message as to what is acceptable in the fight against terrorism internationally.
Lorsque nous appliquons des dispositions comme des attestations de danger pour la sécurité et des audiences secrètes, ou des audiences au cours desquelles, par exemple, deux avocats de la Couronne présentent leur preuve au juge sans que l'accusé ou toute autre personne concernée n'ait l'occasion de se défendre, nous envoyons le mauvais message en ayant l'air de dire que c'est une façon acceptable de lutter contre le terrorisme dans le monde.