When we consider that 62% of all asylum claims were either abandoned, withdrawn or rejected by the IRB last year, it becomes clear that too many tax dollars are spent on these claimants and on tax-funded social benefits.
Si l'on tient compte du fait que 62 p. 100 de l'ensemble des demandes d'asile ont été abandonnées, retirées ou encore rejetées par la CISR l'an dernier, il devient évident qu'on consacre une trop grande part des deniers publics à ces demandeurs et à des avantages sociaux financés par les contribuables.