In getting into the pardon issue, I think it was the Quebec bar that said that neither the number nor the nature of the convictions can justify making it impossible for a rehabilitated offender to obtain a pardon and thus erase the inevitable stigma associated with having a criminal record.
Il s'agit de la question de la réhabilitation. Je crois me souvenir que les représentants du Barreau du Québec ont dit que ni le nombre des condamnations, ni leur nature, ne sauraient justifier qu'on interdise à un délinquant réhabilité d'obtenir un pardon, et, ce faisant, de se libérer du stigmate inévitable que représente le fait d'avoir un casier judiciaire.