If that is so, and if a state—consider Israel, for example, if it were about to be overwhelmed—believes the use of nuclear weapons is the least-bad option available, it seems to me simply unreal to imagine it will be deflected to some even worse option by the terms of some promise made in peacetime, in isolation from the ghastly circumstances that, by definition, have arisen, and in isolation also from the iniquities that would have created that situation.
Si c'était le cas, et si un État—prenons Israël, par exemple, qu'on s'apprêterait à envahir—croyait que l'emploi des armes nucléaires est l'option la moins pire qui s'offre, je n'arrive tout simplement pas à croire qu'il se laisserait convaincre d'opter pour une option pire encore à cause d'une promesse faite en temps de paix, dans des circonstances tout à fait autres et à l'abri des iniquités qu'une situation aussi épouvantable a entraînées.