I also met police from the RCMP and the Sûreté du Québec, who, in the absence of legal instruments, were back at square one after months and months of investigations costing hundreds of millions of dollars and unable to lay charges.
J'ai aussi rencontré des policiers de la GRC, de la Sûreté du Québec qui, à cause de l'absence d'outils judiciaires, se retrouvaient Gros-Jean comme devant après des mois et des mois d'enquêtes qui avaient coûté des centaines de milliers de dollars dans l'impossibilité de porter des accusations.