Just as Canadians are slow to recognize that the United Nations has determined that Canada is the best country in the world in which to live, Canadians are slow to recognize the CBC as having accomplished, over the generations, much of what we have come to expect a public broadcaster to achieve.
Les Canadiens ont du mal à accepter que les Nations Unies aient déclaré que le Canada est le pays où la qualité de vie est la meilleure au monde, et ils ont aussi du mal à accepter que Radio-Canada a rempli, au fil des générations, la plus grande partie des fonctions que l'on attend d'un radiodiffuseur public.