Some of the more well-off provinces had the means to support more generous programs that the federal government had to contribute 50 per cent to. Furthermore, the pressures aimed at containing costs had led us to a very strict regulation of the programs and of what was considered an eligible expenditure, both in the area of health and in that of welfare.
Certaines d'entre elles, beaucoup plus à l'aise, pouvaient se permettre des programmes plus généreux auxquels le gouvernement canadien était forcé de contribuer à 50 p. 100. Par ailleurs, les pressions pour contenir les coûts nous amenaient à une réglementation pointilleuse des programmes, à savoir ce qui constituait une dépense éligible tant dans le domaine de la santé que dans celui du bien-être social.