The view that somehow people out there, generally other people out there, are happy with social assistance and the degradations that go with that, are happy on unemployment insurance benefits, or the two-thirds that don't have any are happy with all that leisure time, I think is just not correct.
Je pense que c'est tout simplement faux de croire qu'il y a des gens, toujours les autres, qui sont contents d'être assistés sociaux, qui sont satisfaits de cette situation dégradante, qui sont heureux de toucher des prestations d'assurance-chômage, ou bien que les deux tiers qui n'en ont pas sont contents d'avoir autant de temps libre.