When Ms. Caplan was minister, the caucus of francophones outside Quebec had convinced her to include an amendment in a bill—and the Commissioner of Official Languages of the day supported us—which stipulated that immigration programs must respect the current make-up of Canada, in other words, a ratio of 75% to 25% anglophones and francophones, which is not currently the case.
Alors que la ministre était Mme Caplan, le caucus des francophones hors Québec l'avait convaincue d'insérer un amendement dans un projet de loi — et la commissaire aux langues officielles d'alors nous avait appuyés — qui aurait stipulé que les programmes d'immigration doivent respecter la composition présente du Canada, soit un ration de 75:25 d'anglophones et de francophones, ce qui n'est pas le cas actuellement.