When francophone deputy ministers accounted for 32% of the total number of deputy ministers, a political scientist, who is now the minister responsible for official languages, said that this situation reflected the government's political will to improve the fate of francophones.
Au temps où le nombre de sous-ministres francophones constituait 32 p. 100 du nombre total de sous-ministres, un politicologue de l'époque, aujourd'hui ministre responsable des langues officielles, disait qu'il fallait y voir là l'expression de la volonté politique du gouvernement d'améliorer le sort et la place des francophones.