Furthermore, the Italian authorities claimed that the prevalence of micro enterprises resulted in higher financing costs and greater labour intensity; labour and debt costs constitute a large part of the IRAP's tax base, thereby placing Sicilian firms at a disadvantage.
Les autorités italiennes ont indiqué, en outre, que la prédominance de microentreprises entraîne des coûts de financement plus élevés et une plus forte intensité de main-d'œuvre; le coût du travail et de l'endettement constituent une grande partie de la base imposable de l'IRAP, pénalisant donc les entreprises siciliennes.