In the Commission's view this decision, following a deeply flawed legal process, is a clear indication of the Nigerian regime's disregard for human rights and underlines the lack of commitment by the regime to return to democracy and the rule of law, expressed as recently as 1 October by General Abacha.
Du point de vue de la Commission, cette décision, après une procédure légale profondément faussée, est un signe clair du mépris du régime nigérian pour les droits de l'homme et souligne son absence d'engagement pour le retour à la démocratie et l'Etat de droit, exprimé tout récemment le 1er octobre par le Général Abacha.