Parliament’s call for medicines to be used as a last resort, once the causes of the psychological illness have been sufficiently explained, should be central, and we cannot let ourselves become the lackeys of the pharmaceutical industry and dedicate ourselves to further pathologising and medicalising life cycles and processes.
La demande exprimée par le Parlement de n’utiliser des médicaments qu’en dernier recours, une fois les causes des problèmes psychologiques suffisamment expliquées, doit constituer l’élément central de notre réflexion. Nous ne pouvons devenir les laquais de l’industrie pharmaceutique et continuer à médicaliser et à «pathologiser» les cycles de vie et les processus psychologiques des citoyens.