The status quo cannot be satisfactory for either the Turkish Cypriots, the majority of whom have come out in favour of the proposed settlement, the Greek Cypriots, who continue to be prevented from recovering their properties, or Turkey, whose status in Cyprus continues to affect its chances of accession to the European Union.
Le statu quo ne peut satisfaire ni les Chypriotes turcs – dont la majorité s’est exprimée pour le règlement proposé –, ni les Chypriotes grecs – qui continuent à être empêchés de récupérer leurs propriétés –, ni la Turquie – dont le statu quo à Chypre continue d’affecter les chances d’adhésion à l'Union Européenne.