The pressure on road transport workers is perceived to have increased during the on-going economic crisis, and is believed by stakeholders to be linked to various unlawful practices such as exceeding driving times, performance-based remunerations endangering road safety or bogus self-employment[43].
La crise économique en cours est perçue comme un facteur d’accroissement de la pression subie par les travailleurs du secteur des transports routiers, pression qui, d’après les parties prenantes, est liée à diverses pratiques illicites, comme le dépassement des temps de conduite, les rémunérations basées sur les performances qui présentent un danger pour la sécurité routière, ou le statut factice d’indépendant[43].