Some genuine thinking needs to be done at European level concerning the risk factors identified by the ILO in its most recent report on forced labour which compel individuals to perform forced labour: decline in income and poverty, vulnerability due to lack of education, illiteracy, the vulnerability of particular sections of the population (women, migrant children).
Une vraie réflexion européenne doit porter sur les facteurs de risques définis par l'OIT dans son dernier rapport sur le travail forcé qui poussent les individus vers le travail forcé: chute de revenus et pauvreté, vulnérabilité liée au manque d'éducation et à l'analphabétisme, populations fragiles (femmes, enfants migrants).