I venture to say that if any large public company in this country had a billion dollar spending boondoggle in one of its divisions and failed to report it or address it in its annual report to the shareholders, not only would its shares be hammered on the stock market but its vice-president of finance would be dismissed and would face disciplinary action from both the shareholders and the securities commission.
J'ose affirmer que si une grande société ouverte au Canada constatait des dépenses frivoles d'un milliard de dollars dans une de ses divisions et n'en faisait pas état dans son rapport annuel aux actionnaires, non seulement le cours de ses actions dégringolerait à la bourse, mais son vice-président aux finances serait congédié et ferait l'objet de mesures disciplinaires, aussi bien de la part des actionnaires que de celle de la commission des valeurs mobilières.