I therefore believe that in the context of GATS – and I hope that the Commissioner responsible for development will have a decisive influence on those discussions, and that those discussions will not just relate to trade policy – we should not put pressure on these countries to liberalise their public services, in particular those relating to water, as a quid pro quo for giving them access to our markets, such as the agriculture market.
J’estime donc que, dans le cadre de l’AGCS - et j’espère que le commissaire en charge du développement pèsera sur ces discussions, et que celles-ci ne relèveront pas uniquement de la politique commerciale - nous ne devons pas faire pression sur ces pays pour les obliger à libéraliser des services publics, en particulier en ce qui concerne l’eau, en échange de ce que nous leur donnerons dans le cadre de l’accès aux marchés, s’agissant de l’agriculture, par exemple.