I think it's fair to say that the Canadian initiative to break that log-jam, to develop a series of proposals on three basic panels—the Kuwaiti prisoners, the humanitarian impact of sanctions, and the disarmament issues—has allowed us to move the dossier forward.
Je pense pouvoir dire que l'initiative canadienne en vue de rompre l'impasse, d'élaborer une série de propositions au sein de trois panels—les prisonniers du Koweit, l'aspect humanitaire des sanctions et les questions de désarmement—a permis de faire progresser les choses.