As a real estate manager at the Department of Foreign Affairs and International Trade, she had witnessed first-hand violations of government rules to maintain lavish diplomatic lifestyles that were costing Canadian taxpayers billions of dollars.
En tant que gestionnaire des biens immobiliers du ministère des Affaires étrangères et du Commerce international, elle a été en mesure de constater que le gouvernement enfreignait les règles du gouvernement pour permettre à des diplomates de mener un train de vie somptuaire coûtant des milliards de dollars aux contribuables canadiens.