It is a way that Parliament, in entering into that dialogue with our courts, can show that the public, through Canada's Parliament — which includes the Senate, where the bill comes from, and the House of Commons — denounces this type of crime perpetrated against people we charge with something we consider a public good, public transit.
En amorçant ce dialogue avec les tribunaux, le Parlement peut démontrer que la population, par l'entremise du Parlement du Canada — c'est-à-dire le Sénat, d'où provient le projet de loi, ainsi que la Chambre des communes — , dénonce ce type d'acte criminel commis contre ceux qui doivent exercer les fonctions liées à ce que l'on considère comme un bien public, c'est-à-dire le transport en commun.