It is a shame, however, that rather than amend Canadian law to do away with some of these grey areas when it comes to prosecuting individuals for war crimes or crimes against humanity, or when these specific defences are invoked, the federal government opted instead for a course of action whereby war criminals could be deported to their native country as a temporary solution to the problem at hand.
Il est scandaleux toutefois qu'au lieu de modifier la loi canadienne pour apporter des éclaircissements à ces zones grises qui traitent de la poursuite en justice de ces gens qui se rendent coupables de crimes de guerre ou de crimes contre l'humanité ou du recours à cette défense, le gouvernement fédéral a plutôt décidé d'adopter des mesures permettant aux criminels de guerre d'être déportés dans leur pays d'origine pour régler le problème de façon temporaire.