I would say that this period should mainly be a process of collective self-knowledge, a path which, if followed consistently and honestly, will bring us to a deeper definition and to the essence of the European Union itself, because the real question that needs to concern us is not technocratic; it is philosophical: what sort of Europe do we want?
Je dirais que cette période devrait être avant tout un processus de connaissance collective de soi, un chemin qui, s’il est suivi avec cohérence et honnêteté, nous amènera à une définition plus approfondie et à l’essence même de l’Union européenne, car la vraie question qui doit nous occuper n’est pas technocratique, mais philosophique: quel type d’Europe souhaitons-nous?