I say with “great pride”, because the constitutional amendment proposal introduced today by the Minister of Intergovernmental Affairs, whom I will not name, is an important step in a debate which, in Quebec, lasted 30 years before a consensus could be reached.
Je dis bien «beaucoup de fierté», car la proposition de modification constitutionnelle déposée aujourd'hui par le ministre des Affaires intergouvernementales, que je ne nommerai pas, constitue une étape importante d'un débat qui, au Québec, s'est échelonné sur 30 ans avant que ne se dégage un consensus.