My reading of it was that when CSIS came into information, perhaps from other governments in other jurisdictions, that may or may not have been derived in that fashion, the veracity of that information was not to be set aside ipso facto, simply because of what might have been its potential source relative to that other question.
L'interprétation que j'en fais, c'est que lorsque le SCRS a en sa possession des renseignements, provenant peut-être d'autres gouvernements dans d'autres juridictions, des renseignements qui peuvent ou non avoir été obtenus de cette façon, qu'il ne fallait pas rejeter à prime abord la véracité de ces renseignements simplement à cause de ce qui peut avoir été sa source potentielle par rapport à cette autre question.