But if you approach it from the point of view that certain people are not people, they're not citizens, they don't have a voice because “they're criminal”, then I don't think it really produces anything in terms of a process that actually allows you to resolve the conflicts.
Si on part du point de vue que certaines personnes ne sont pas des personnes, qu'elles ne sont pas des citoyens, qu'elles n'ont pas un mot à dire parce qu'elles « sont des criminels », je ne crois pas qu'on puisse vraiment en arriver à amorcer un processus qui permette vraiment de résoudre les conflits.