This is not the time to apportion blame, but if we note that of the 300 staff in OLAF fewer than 15, even on a generous count, are at present working on internal investigations in the institutions, then something has gone seriously wrong.
Ce n’est pas le moment de désigner des coupables, mais, si on constate que moins de 15 des 300 membres du personnel de l’OLAF - et encore, je suis généreux - travaillent actuellement sur des enquêtes internes dans les institutions, il y a un sérieux problème.