The amendment proposed in Bill C-26 requiring that, in cases with multiple victims, mandatory minimum sentences must be served consecutively has prompted public debate about the “totality principle,” which states that an offender’s overall sentence should not be unduly harsh.
La disposition du projet de loi C-26 exigeant que les peines minimales obligatoires soient purgées consécutivement dans les cas de victimes multiples suscite un débat public sur le « principe de totalité », suivant lequel la peine globale d’un délinquant ne doit pas être trop sévère.