They have come to the conclusion that whether or not one believes in the science of climate change, whether or not one supports Kyoto, a CEO has a vested interest, but also a pecuniary responsibility to the shareholders, to prepare his or her company for what is becoming a globally carbon constrained economy.
Ils ont conclu que, peu importe s’il croit ou non dans la science des changements climatiques, s’il souscrit ou non au Protocole de Kyoto, un PDG doit, en raison d’un intérêt direct, mais aussi d’une responsabilité financière envers les actionnaires, préparer son entreprise à évoluer dans une économie qui limite de plus en plus les émissions de carbone à l’échelle mondiale.