Given that the Czech competition authority penalised only the consequences of the cartel which were produced in Czech territory before 1 May 2004 and that the latter were not taken into consideration by the Commission when imposing the fines, the Court finds that, for lack of accumulation of penalties, the principle of ne bis in idem has not been infringed.
Étant donné que l’autorité tchèque de la concurrence a sanctionné uniquement les conséquences de l’entente qui se sont réalisées sur le territoire tchèque avant le 1 mai 2004 et que celles-ci n’ont pas été prises en considération par la Commission lors de l’infliction des amendes, la Cour constate, qu’à défaut de cumul de sanctions, le principe ne bis in idem n’a pas été violé.