In referring to the current Prime Minister he said that the Prime Minister's “one problem at a time” and “Canada is number one” rhetoric reflected his personal and political convictions that setting national targets, exhorting citizens to make special efforts, using his office as a bully pulpit in outlining serious challenges for citizens to consider, are all potentially fatal political traps.
À propos de l'actuel premier ministre, il a dit que sa façon de prendre un problème à la fois et de dire que le Canada est le meilleur pays au monde reflète ses convictions personnelles et politiques que le fait de fixer des objectifs nationaux, d'exhorter les citoyens à faire des efforts spéciaux, de se servir de son poste comme moyen d'intimidation pour amener les citoyens à réfléchir aux graves défis qui se posent à eux, sont tous des pièges politiques potentiellement fatals.