The Supreme Court of Canada again held, in 1997, that the woman could not be incarcerated because it was not a human being and, therefore, the child could not be protected, even though the child would be born, obviously, with foetal abnormalities.
La Cour suprême du Canada a considéré à nouveau en 1997, que la femme ne pouvait pas être incarcérée parce qu'il ne s'agissait pas d'un être humain et que, par conséquent, il était impossible de protéger l'enfant, même s'il devait souffrir d'anomalies à sa naissance.