Those are the three questions I would ask you: the right to remain silent before and/or after conviction, and whether you can, under the charter, foist upon a convicted person the need, by way of a presumption, to rebut a negative.
Voilà les trois questions que je vous pose: le droit de garder le silence avant et après la condamnation, et savoir si vous pouvez, en vertu de la Charte, reléguer à une personne reconnue coupable la nécessité, à la faveur d'une présomption, de prouver que l'événement ne s'est pas produit.