First, I give my full support to the so-called plan A. It involves programs to inform Canadians about the benefits of Confederation, to promote Canadian achievements, to improve the operation of Confederation and to make it more effective for ordinary Canadians in all parts of the country (1650) We must demonstrate to Canadians in Quebec and elsewhere in this country that our two official languages, French and English, are a great asset and not a burden.
Tout d'abord, j'appuie sans réserve ce qu'on appelle le plan A, c'est-à-dire les programmes visant à informer les Canadiens des bienfaits de la Confédération, à mettre en valeur les réalisations du Canada, à améliorer le fonctionnement de la fédération et à la rendre plus efficace pour les simples citoyens de toutes les régions (1650) Nous voulons notamment montrer aux Canadiens du Québec et de partout ailleurs au pays que nos deux langues officielles, le français et l'anglais, représentent un atout et non un fardeau.