Are we trying to be too many things to too many people or should we just understand that people do have to be mobile in this profession, and that international exposure, with the networking it brings, with the knowledge it brings that might not be available to Canada when you happen to be passing through that part of your career, is just part of the culture of doing excellence in research?
Ne sommes-nous pas en train de faire trop de choses pour trop de gens ou bien est-ce qu'on devrait plutôt comprendre que les gens doivent faire preuve de mobilité dans cette profession et que la possibilité de travailler à l'étranger, et le réseautage qui en résulte, ainsi que les connaissances que vous pouvez acquérir là- bas mais peut-être pas au Canada à cette étape de votre carrière, tout cela fait partie de cette culture d'excellence dans la recherche?