The argument that consumers in Europe would stand to gain from reduced sugar prices is one that leaves me cold, for, although cereals now cost not even one-third of what they did 40 years ago, the price of bread has multiplied over the same period of time.
L’argument selon lequel les consommateurs européens pourraient bénéficier d’une réduction du prix du sucre me laisse sceptique, dans la mesure où si les prix actuels des céréales ne représentent même pas le tiers des prix en vigueur il y a quarante ans, dans le même temps, le prix du pain s’est envolé.