Traduction de «bernard landry who gave » (Anglais → Français) :

While the Prime Minister of Canada and the governor of the Bank of Canada oppose this concept, the deputy premier of Quebec, Mr. Bernard Landry, who was an adamant proponent of the free trade agreement in 1988, is supporting the position of the Bloc Quebecois and its leader.
Même si le premier ministre canadien et le gouverneur de la Banque du Canada s'opposent à ce projet, le vice-premier ministre du Québec, M. Bernard Landry, un ardent défenseur du traité de libre-échange en 1988, endosse la position du Bloc québécois et de notre chef.

Last week, it was Bernard Landry who referred to Sir Wilfrid Laurier.
Nous avions, la semaine dernière, M. Bernard Landry, qui citait Wilfrid Laurier.

By the way, it was Bernard Landry who gave us that overview which the government seems to have embraced.
En passant, je signale que c'est de Bernard Landry que vient l'idée que le gouvernement semble avoir adoptée.

It was Bernard Landry who created the commission on fiscal imbalance and who was successful in creating a very strong consensus on this issue in Quebec, but also in Canada.
C'est Bernard Landry qui a créé la Commission sur le déséquilibre fiscal et qui a réussi à former un consensus très fort sur cette question au Québec, mais aussi au Canada.

As regards the Charlottetown referendum, I would like to quote the current Deputy Premier of Quebec, Bernard Landry, who said at the time: “For a yes to be legitimate, it needs at least 58% of the vote to reflect those we respectfully call the anglophones and the allophones”.
Concernant le référendum de Charlottetown, je voudrais citer l'actuel vice-premier ministre du Québec, M. Bernard Landry, qui disait, à l'époque: «Pour qu'un oui soit légitime, il doit obtenir au moins 58 p. 100 des voix pour tenir compte de ceux qu'on appelle respectueusement les anglos-allos».