As part of this method, it proposes to freeze nominal prices at 1983-84 levels for a further two years, thereby cutting actual prices and incomes, irrespective of the fact that the extended freeze on sugar beet prices eroded actual prices by 33% between 1982 and 1999.
Dans le cadre de cette démarche, il est proposé, pour deux autres années, de geler les prix en termes nominaux aux niveaux de 1983-84, ce qui signifie une baisse des prix et des revenus en termes réels, alors que le gel prolongé des prix des betteraves sucrières a entraîné une baisse de 33 % des prix en termes réels au cours de la période 1982-1999.