Recently, in the case of James Driskell in Winnipeg, Manitoba, convicted of murder in 1990, I was able to determine that a miscarriage of justice likely occurred in this case, quash the conviction and order a new trial because DNA evidence in 2002, 12 years after the initial conviction, demonstrated that the allegedly forensic evidence that connected the victim to the accused had been mistaken.
Récemment, dans l'affaire de James Driskell, à Winnipeg (Manitoba), reconnu coupable de meurtre en 1990, j'ai été en mesure de déterminer qu'une erreur judiciaire avait probablement été commise dans cette affaire; j'ai donc cassé la condamnation et ordonné un nouveau procès parce que la preuve fondée sur l'analyse de l'ADN a permis de démontrer en 2002, soit 12 ans après la condamnation initiale, que la preuve médico-légale établissant un lien entre la victime et l'accusé était erronée.