My feeling is that if these countries, which are the ones most at risk, are not absolutely convinced that tough action against Iraq is absolutely necessary, then why are the Americans, who are some 7,000 kilometres away, in this phase of increased rhetoric, and so on?
Selon moi, si ces pays, qui sont les plus à risque, ne sont pas absolument convaincus de la nécessité de prendre des mesures énergiques contre l'Irak, alors pourquoi les Américains, qui se trouvent à 7 000 kilomètres de là, tiennent-ils des discours de plus en plus menaçants?