If indeed we find, as I said in my remarks, that in the latter part of 2002 we actually have been successful and that we have both the American and the Canadian economies growing at a rate at or above potential, then there will be upward pressure on prices and we will be moving rates up, as will the Americans.
Comme je l'ai dit dans mon exposé, si nous constatons à la fin de l'an 2002 que nos choix ont porté fruit et que les économies canadienne et américaine ont un taux de croissance égal ou supérieur au potentiel, des pressions à la hausse s'exerceront alors sur les prix et nous hausserons les taux d'intérêt, comme le feront d'ailleurs les Américains.