In the last 30 years, I have seen Canadian journalists finding their own voices, divorcing themselves individually from party affiliations, and emulating some of the better practices from the U.S. and other countries without embracing some of the seedier elements of American or British tabloidism.
Au cours des 30 dernières années, j'ai vu les journalistes canadiens trouver leurs propres voix, de dissocier complètement des partis politiques et copier certaines des meilleures pratiques aux États-Unis et ailleurs sans pour autant embrasser les éléments les plus douteux des tabloïdes américains ou britanniques.