We cannot ignore them when we are asked, as legislators, to add to the number of crimes, especially in the context of a group of Canadians who are already overrepresented and already lack the kind of social assistance needed to be rehabilitated and reintegrated into the Canadian mainstream.
En tant que législateurs, nous devons absolument en tenir compte quand nous sommes invités à allonger la liste des crimes, surtout quand il est question d'un groupe de Canadiens dont une plus grande proportion est emprisonnée et qui ne bénéficient pas du soutien nécessaire à leur réhabilitation et leur réinsertion dans l'ensemble de la société.