The second thing, as I said, is that we can't, at the end of the day, ask the Canada Border Services agents to be babysitters and to help people, for lack of a better term, who are lost, but they have to have a place to turn them over to.
La deuxième chose, comme je l'ai dit, c'est que, finalement, nous ne pouvons pas nous attendre à ce que les Agents des services frontaliers du Canada se transforment en baby-sitters et qu'ils aident ceux qui, faute d'un meilleur terme, sont perdus, mais il faut qu'il y ait un endroit où ils puissent les amener.