My question is as follows: If, given Canada's population projections, we can see already that certain cultural activities or areas will be more popular and attract more people, should the country's cultural policy seek to support that trend or rather to address potential shortcomings or projective weaknesses?
La question que je veux poser est la suivante: si on peut entrevoir d'ores et déjà, en se fondant sur les projections démographiques du pays, que certaines sphères culturelles, certains genres d'activités culturelles seront plus populaires et attireront une clientèle grandissante, est-ce que la politique culturelle de la nation devrait tenter de renforcer cette tendance ou plutôt tenter de combler les lacunes possibles ou s'orienter vers les faiblesses qu'on entrevoit?