In addition, the Canadian Centre for Justice Statistics reports that in 1991 two-thirds of all accused murderers were known to have criminal records, the majority for previous violent offences, and were already prohibited from legally owning or acquiring a firearm.
En outre, le Centre canadien de la statistique juridique rapporte qu'en 1991 les deux tiers des personnes accusées de meurtre avaient un dossier criminel, la plupart pour des crimes violents, et n'avaient pas le droit d'acheter une arme à feu ni d'en être légitimement propriétaires.