Since the Bush energy plan calls for an increased reliance on nuclear power in the future, it is unlikely that there will be any major changes to the
legislation or the proposed extension, although critics continue to argue that no other industry receives such protection from financial risks.[15] The level of coverage (US$9.4 billion) is especially upsetting to some critics in light of a 1982 U.S. study that predicted the cost of a
worse case scenario accident at a nuclear reactor could range from US$24.8 to US$59
...[+++]0 billion.[16]Étant donné que le plan de l’administration Bush en matière d’énergie prévoit une contribution accrue des centrales nucléaires pour la production d’électricité, il est très improbable que la loi
ou la reconduction proposée ne subisse des changements importants, bien que les critiques continuent d’affirmer qu’aucune autre industrie ne bénéficie d’une telle protection en matière de risques financiers.[15] Certains critiques de l’option nucléaire sont d’autant plus outrés de la limite de couverture (9,4 milliards $US) qu’une étude américaine réalisée en 1982 a établi que
le pire scénario d’accident ...[+++] dans une centrale nucléaire engendrait des coûts de l’ordre de 24,8 milliards $US à 590 milliards $US.[16]