How, then, can the European Union subject these countries to an assessment of their respect for human rights when, in its own documents, it does not proclaim loud and clear the protection of that principle – the principle of self-determination – that the peoples of those States have been denied for decades?
Comment l'Union européenne peut-elle alors mettre ces pays à l'épreuve, en particulier dans le domaine du respect des droits de l'homme, si elle omet de consacrer dans ses documents ce principe - le droit à l'autodétermination - que les citoyens de ces pays se sont vu refuser pendant des décennies ?